Organes: Cardia (jonction gastro-œsophagienne)

Étude CARDIA : étude visant à étudier les marqueurs biomoléculaires de sensibilité à la chimiothérapie périopératoire chez des patients ayant un adénocarcinome du cardia ou de l’estomac. Le cancer de l’estomac reste le deuxième cancer digestif en incidence en France. Son pronostic reste médiocre avec une survie globale à 10 ans d’environ 20 % en raison d’un diagnostic tardif. Parmi les traitements du cancer de l’estomac, on utilise souvent les chimiothérapies palliatives. Certains sous-types de cancers gastriques et du cardia, tels qu’un adénocarcinome ou une linite gastrique avec des cellules disséminées, répondent faiblement à une chimiothérapie périopératoire et certains d’entre eux ne répondent pas à la chimiothérapie standard. Dans ces cas, la chimiothérapie pourrait retarder la possibilité d’avoir une chirurgie. Par conséquent, il y a une nécessité de trouver des marqueurs pronostiques de la sensibilité à la chimiothérapie standard pour identifier si les patients seront répondeurs ou non répondeurs au traitement. L’objectif de cette étude est d’étudier les marqueurs biomoléculaires de sensibilité à la chimiothérapie périopératoire chez des patients ayant un adénocarcinome du cardia ou de l’estomac. Les patients auront des biopsies au moment du diagnostic pour l’étude des marqueurs biomoléculaires de sensibilité à la chimiothérapie périopératoire pour déterminer s’ils seront des bons ou des mauvais répondeurs à la chimiothérapie périopératoire. Les patients seront suivis pendant 5 ans.

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Étude DURIGAST : étude de phase 2 comparant l’efficacité d’une chimiothérapie dite FOLFIRI associé à du durvalumab, par rapport à du FOLFIRI associé à du durvalumab et du trémélimumab, comme traitement de 2ème ligne, chez des patients ayant un adénocarcinome gastrique ou de la jonction oesogastrique avancé. Le cancer de l’estomac prend habituellement naissance dans le revêtement interne de la paroi gastrique (appelé muqueuse). Avec environ 9.000 nouveaux cas par an, le cancer de l'estomac se situe au cinquième rang des cancers en France. Le cancer de la jonction oesogastrique (ou cancer du cardia) est un cancer de l’orifice supérieur de l’estomac, situé à la jonction avec l’oesophage. Plusieurs traitements peuvent être utilisés, seuls ou en combinaison, pour traiter ces cancers : le traitement par endoscopie, la chirurgie, la chimiothérapie et la radiothérapie. Le choix des traitements dépend des caractéristiques du cancer : l’endroit où il est situé, son type histologique, c’est-à-dire le type de cellules impliquées, son stade, c’est-à-dire son degré d’extension, et son grade, c’est-à-dire son degré d’agressivité. La chimiothérapie classique, tel que la chimiothérapie de type FOLFIRI, est un traitement général dit aussi systémique car elle repose sur l’administration de médicaments anticancéreux qui circulent et agissent dans l’ensemble du corps. Cela permet d’atteindre les cellules cancéreuses quelle que soit leur localisation, même si elles sont isolées et n’ont pas été détectées lors du diagnostic. Les médicaments de chimiothérapie détruisent les cellules cancéreuses en agissant sur leurs mécanismes de division. Certaines cellules cancéreuses ont la capacité d’échapper aux défenses immunitaires qui protègent l’organisme. Les immunothérapies constituent un développement majeur pour les traitements anticancéreux, car elles sont capables de stimuler et de mobiliser le système immunitaire du patient contre la tumeur. Le durvalumab est un anticorps monoclonal qui se lie à une protéine des cellules cancéreuses et les empêche ainsi d’échapper au système immunitaire. La chimiothérapie par FOLFIRI IV est composée d’irinotecan, d’acide folinique et de 5-FU Le trémélimumab est un anticorps monoclonal, qui active les lymphocytes et entraine la mort des cellules tumorales. Il stimule l'activité du système immunitaire en se liant à une molécule présente à la surface des lymphocytes T, appelée CTLA-4. L’objectif de cette étude est de comparer l’efficacité du FOLFIRI associé à du durvalumab par rapport à du FOLFIRI associé à du durvalumab et du trémélimumab en deuxième ligne de traitement chez des patients ayant un adénocarcinome gastrique ou de la jonction oesogastrique avancé. L’étude comprendra 3 étapes. Lors de la 1ère étape, les patients recevront du FOLFIRI toutes les 2 semaines associé à du durvalumab toutes les 4 semaines. Le traitement sera répété en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Lors des 2ème et 3ème étapes, les patients seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes. Les patients du 1er groupe recevront du FOLFIRI toutes les 2 semaines associé à du durvalumab toutes les 4 semaines. Le traitement sera répété en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients du 2ème groupe recevront du FOLFIRI toutes les 2 semaines associé à du durvalumab et du trémélimumab toutes les 4 semaines jusqu’à 4 cures. Le traitement sera répété en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Lors de l’étape 3, des échantillons sanguins et des échantillons de selles pourront être recueillis pour une étude ancillaire. Les patients seront revus au 1er jour de chaque cure pour des examens biologiques et biochimiques. Les patients seront suivis pendant une durée maximale de 4 mois après leur inclusion.

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Astellas Pharma MAJ Il y a 4 ans

Étude CL-0301 : étude de phase 3 randomisée évaluant l'efficacité, la sécurité et la tolérance du zolbetuximab associé à une chimiothérapie de type mFOLFOX6 par rapport à un placebo associé à une chimiothérapie de type mFOLFOX6 dans le traitement du cancer de l'estomac et du cancer de la jonction gastro-oesophagienne. Le cancer de l’estomac est une pathologie fréquente, quatrième place en termes d’incidence des cancers avec une augmentation des cancers de la jonction oesogastrique. Son prognostique reste médiocre. L’adénocarcinome représente jusqu’à 95 % de tous les cancers de l’estomac. Il prend naissance dans les cellules de l’estomac qui fait partie de l’appareil digestif. Le mot « maligne » signifie que la tumeur est cancéreuse et qu’elle peut se propager (métastases) à d’autres parties du corps. Ces types de cancers possèdent un ensemble unique de protéines appelées Claudine 18.2. La Claudine 18.2, est une protéine de la jonction serrée, exprimée particulièrement dans les cancers gastriques, métastasiques. Pour les formes localement avancées, la chimiothérapie avant et après la chirurgie est le traitement de référence. La chimiothérapie seule peut contribuer à ralentir le développement de la maladie, à soulager les symptômes et à améliorer la qualité de vie. Elle est le traitement de référence pour les cancers métastatiques. Une thérapeutique ciblée, ou thérapie ciblée, est un médicament anticancéreux qui cible un récepteur ou un mécanisme précis de la tumeur, et a moins d'effets secondaires qu'une chimiothérapie. Le zolbetuximab est un anticorps monoclonal qui se lie à la protéine claudine-18.2 et inhibe la prolifération cellulaire, induisant ainsi la mort des cellules cancéreuses. Le mFOLFOX6 est une option thérapeutique courante qui comprend une combinaison de trois chimiothérapies connues sous le nom d'Oxaliplatine, de Leucovorine et de Fluorouracile. L’objectif de cette étude est d’évaluer l'efficacité, la sécurité et la tolérance du zolbetuximab associé à une chimiothérapie de type mFOLFOX6 par rapport à un placebo associé à une chimiothérapie de type mFOLFOX6 dans le traitement du cancer de l'estomac et du cancer de la jonction gastro-oesophagienne. Les patients seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes. Les patients du 1er groupe recevront du zolbetuximab toutes les 3 semaines, associé à une chimiothérapie dite mFOLFOX6 (acide folinique, 5-fluorouracile, oxaliplatine) toutes les 2 semaines pendant 42 jours. Le traitement sera répété toutes les 3 semaines jusqu’à 4 cures en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients du 2e groupe recevront un placebo toutes les 3 semaines, associé à une chimiothérapie dite mFOLFOX6 (acide folinique, 5-fluorouracile, oxaliplatine) toutes les 2 semaines pendant 42 jours. Le traitement sera répété jusqu’à 4 cures en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant une durée maximale de 3 ans après le début de l’étude.

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Merck Sharp & Dohme (MSD) MAJ Il y a 4 ans

Étude MK-3475-859-01 : étude de phase 3 randomisée évaluant l’efficacité du pembrolizumab associé à une chimiothérapie par rapport à un placebo associé à une chimiothérapie comme traitement de première ligne chez des patients ayant un carcinome de l’estomac ou de la jonction gastro-oesophagienne métastatique HER2 négatif. Le cancer de l'estomac est le 2ème cancer digestif en France, avec une augmentation du cancer de la jonction gastro-oesophagienne. C’est une maladie qui se développe à partir d'une cellule de l'estomac initialement normale qui se transforme et se multiplie de façon anarchique pour former une tumeur maligne. C’est un problème sanitaire mondial avec environ 930000 nouveaux cas par an et une maladie localement avancée ou métastatique au moment du diagnostic. La plupart des cancers de l'estomac se développent à partir des cellules de la couche superficielle interne de l'estomac (la muqueuse), ce sont des adénocarcinomes qui représentent environ 90% des cancers de l'estomac. Le gène HER2 contrôle une protéine située à la surface des cellules qui les aide à croître. Si le gène HER2 change, la croissance tumorale peut être favorisée. Le traitement de référence du cancer de l’estomac ou de la jonction gastro-oesophagienne de stade avancé est la chimiothérapie ou la thérapie ciblée. Certaines cellules cancéreuses ont la capacité d’échapper aux défenses immunitaires qui protègent l’organisme. Les immunothérapies constituent un développement majeur pour les traitements anticancéreux, car elles sont capables de stimuler et de mobiliser le système immunitaire du patient contre la tumeur. Le pembrolizumab cible et bloque une protéine appelée PD-1 à la surface de certaines cellules immunitaires, appelée lymphocytes T. Le blocage de PD-1 amène les cellules T à rechercher et à tuer les cellules cancéreuses. Le 5-FU, le cisplatine, l’oxaliplatine et la capecitabine sont des médicaments anticancéreux qui détruisent les cellules en division rapide, telles que les cellules cancéreuses. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité du pembrolizumab associé à une chimiothérapie par rapport à un placebo associé à une chimiothérapie comme traitement de première ligne chez des patients ayant un carcinome de l’estomac ou de la jonction gastro-oesophagienne métastatique, HER2 négatif. Les patients seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes. Les patients du 1er groupe recevront du pembrolizumab toutes les 3 semaines associé à du cisplatine, du 5-FU, de l’oxaliplatine et de la capecitabine 2 fois par jour pendant 2 semaines. Le traitement sera répété toutes les 3 semaines en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients du 2ème groupe recevront le placebo toutes les 3 semaines associé à du cisplatine, du 5-FU, de l’oxaliplatine et de la capecitabine 2 fois par jour pendant 2 semaines. Le traitement sera répété toutes les 3 semaines en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant une durée maximale de 2 ans.

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Astellas Pharma MAJ Il y a 4 ans

Étude 8951-CL-0103 : étude de phase 2 évaluant l’efficacité de l’IMAB362 en monothérapie ou en association avec le mFOLFOX6 (5-fluorouracile, leucovorine et oxaliplatine) chez des patients ayant un adénocarcinome de l’estomac ou de la jonction gastro-oesophagienne métastatique ou localement avancé et non résécable. Le cancer de l’estomac prend habituellement naissance dans le revêtement interne de la paroi gastrique (appelé muqueuse). Avec environ 9 000 nouveaux cas par an, le cancer de l'estomac se situe au cinquième rang parmi l’ensemble des types de cancers en France. Le cancer de la jonction oesogastrique (ou cancer du cardia) est un cancer de l’orifice supérieur de l’estomac, situé à la jonction avec l’oesophage. L’IMAB362 est un anticorps qui agit en stimulant le système immunitaire pour le rendre apte à attaquer les cellules cancéreuses. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité de l’IMAB362 seul ou associé à du 5-fluorouracile, de la leucovorine et de l’oxaliplatine (mFOLFOX6) chez des patients ayant un adénocarcinome de l’estomac ou de la jonction gastro-oesophagienne métastatique ou localement avancé et non résécable. Les patients seront répartis en 2 groupes selon le nombre de lignes de traitement antérieur reçues pour la pathologie. Les patients du premier groupe ayant reçu au moins 3 lignes de traitement antérieur recevront de l’IMAB362 seul toutes les 3 semaines jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Les patients du deuxième groupe n’ayant pas reçu de traitement antérieur recevront de l’IMAB362 toutes les 3 semaines associé à de l’oxaliplatine, de la leucovorine et du 5-fluorouracile toutes les 2 semaines. Le traitement sera répété toutes les 6 semaines pendant 4 cures puis les patients pourront continuer à recevoir de l’IMAB362 associé à du 5-fluorouracile et de la leucovorine jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Un examen par imagerie sera réalisé toutes les 9 semaines pendant les 54 premières semaines puis toutes les 12 semaines. Les patients du premier groupe seront revus 30 et 90 jours après la fin du traitement à l’étude puis seront suivis par téléphone toutes les 12 semaines. Les patients du deuxième groupe seront revus après la fin du traitement à l’étude puis recevront un appel téléphonique de suivi 30 et 90 jours après la fin du traitement à l’étude.

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Merck Sharp & Dohme (MSD) MAJ Il y a 4 ans

Étude KEYNOTE 811 : étude de phase 3 randomisée comparant l’efficacité du pembrolizumab associé au trastuzumab et à une chimiothérapie par rapport au placébo associé au trastuzumab et à une chimiothérapie en première ligne de traitement chez des patients ayant un adénocarcinome de l’estomac ou de la jonction gastro-oesophagienne métastatique HER2 positif. Le cancer de l’estomac prend habituellement naissance dans le revêtement interne de la paroi gastrique, appelé muqueuse. Avec environ 9 000 nouveaux cas par an, le cancer de l'estomac se situe au cinquième rang des cancers en France. Le cancer de la jonction oesogastrique ou cancer du cardia est un cancer de l’orifice supérieur de l’estomac, situé à la jonction avec l’oesophage. Dix à vingt pour cent des patients ayant un cancer de l’estomac présentent une surexpression ou une amplification du récepteur 2 du facteur de croissance épidermique humain (HER2, ErbB2), qui est un récepteur de la tyrosine kinase transmembranaire. Si le gène HER2 change, cela risque de favoriser la croissance d’une tumeur. Le trastuzumab est un inhibiteur spécifique du récepteur HER2. Il permet de contrôler la prolifération et la croissance des cellules cancéreuses. Dans de nombreux cas, les cellules cancéreuses développent une stratégie de protection qui consiste à inhiber le système immunitaire en sécrétant une protéine appelée PD-L1. Cette protéine peut inhiber l’activité des lymphocytes T en interagissant avec la protéine PD-1 localisée à la surface de ces cellules. Le pembrolizumab est un anticorps ciblant la protéine PD-1 qui, en se fixant à cette dernière, permet d’empêcher l’inactivation des lymphocytes T par les cellules cancéreuses et d’aider le système immunitaire à éliminer ou limiter la prolifération des cellules cancéreuses. L’objectif de cette étude est de comparer l’efficacité du pembrolizumab associé au trastuzumab et à une chimiothérapie par rapport à un placébo associé au trastuzumab et à une chimiothérapie en première ligne de traitement chez des patients ayant un adénocarcinome de l’estomac ou de la jonction gastro-oesophagienne métastatique HER2 positif. Les patients seront aléatoirement répartis en deux groupes. Les patients du 1er groupe recevront du trastuzumab 1 fois et du pembrolizumab 1 fois, associés soit à une chimiothérapie de type FP (cisplatine 1 fois et 5-fluorouracile pendant 5 jours), soit à une chimiothérapie de type CAPOX (oxaliplatine et capecitabine pendant 14 jours). Le traitement sera répété toutes les 3 semaines. Les patients du 2ème groupe recevront du trastuzumab 1 fois et un placebo 1 fois, associés aux mêmes chimiothérapies que dans le 1er groupe. Le traitement sera répété toutes les 3 semaines. Les patients seront suivis jusqu’à 5 ans après leur inclusion dans l’étude.

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BeiGene MAJ Il y a 4 ans

Étude BGB-290-303 : étude de phase 3 randomisée comparant l’efficacité du pamiparib par rapport à celle d’un placebo en traitement d’entretien chez des patients ayant un cancer de l’estomac ou de la jonction gastro-oesophagienne inopérable localement avancé ou métastatique ayant répondu à une chimiothérapie de première intention à base de sels platine. Les tumeurs les plus fréquentes de l'estomac (adénocarcinomes) se développent à partir de la couche interne superficielle de l'estomac, la muqueuse. Des cellules cancéreuses peuvent se détacher de la tumeur, emprunter les vaisseaux lymphatiques ou sanguins et envahir les ganglions lymphatiques situés à proximité de l'estomac (dits régionaux) ou d'autres organes comme les poumons, les ovaires chez les femmes, les os ou le péritoine où elles forment de nouvelles tumeurs appelées métastases. Le traitement de référence est le plus souvent la chirurgie palliative lorsque le cancer est de stade avancé. Une chimiothérapie par thérapie ciblée est également envisagée en cas de métastase ou de récidive. Le pamiparib est un inhibiteur des enzymes PARP1 et PARP2 qui ont un rôle dans la réparation de l’ADN endommagé des cellules. Dans le cas des cellules cancéreuses l’action de ces enzymes favorise le développement de tumeur. Le pamiparib bloque ce processus de réparation de l’ADN des cellules cancéreuses et permet donc d’inhiber leur multiplication. L’objectif de cette étude est de comparer l’efficacité du pamiparib par rapport à celle d’un placebo en traitement d’entretien chez des patients ayant un cancer de l’estomac ou de la jonction gastro-oesophagienne inopérable localement avancé ou métastatique ayant répondu à une chimiothérapie de première intention à base de sels platine. Les patients seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes. Les patients du 1er groupe recevront du pamiparib deux fois par jour. Le traitement sera répété toutes les quatre semaines en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients du 2ème groupe recevront un placebo deux fois par jour. Le traitement sera répété toutes les quatre semaines en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients seront revus au premier et au quinzième jour des deux premières cures. Ils seront suivis pendant une durée maximale de 3 ans après le début de l’étude.

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